“Mais d’où vient le titre de ton roman ?”

 
 
« Rien n’est simple ni singulier
La mer est dans les yeux du ciel ou de la nuit
La forêt donne aux arbres la sécurité
Et les murs des maisons ont une peau commune
Et les routes toujours se croisent.
Les hommes sont faits pour s’entendre
Pour se comprendre pour s’aimer
Ont des enfants qui deviendront pères des hommes
Ont des enfants sans feu ni lieu
Qui réinventeront les hommes
Et la nature et leur patrie
Celle de tous les hommes
Celle de tous les temps. »
— Extrait du poème de Paul Eluard, "La mort, l'amour, la vie"
 

🌸 J’aime quand les romans portent un titre poétique. C’est comme une devinette enrobée de mystère et de douceur, comme une promesse à effeuiller page après page.

⚡️ Lorsque j’ai trouvé ce poème de Paul Eluard, j’ai été frappée par son titre. « La mort, l’amour, la vie » : n’est-ce pas là, au creux de ces trois mots, que tout se joue ?
Puis, en lisant le vers « Et les routes toujours se croisent », le titre de mon roman s’est imposé à moi, comme une évidence. Je l’ai un peu modifié, mais l’essence du poème de Paul Eluard y brille en filigrane.

✨ « Et nos routes toujours se croisent », c’est l’histoire de vies qui se croisent, s’entrechoquent, se télescopent. De destins qui se tutoient, s’appréhendent, s’influencent.

🌱 C’est une histoire où la mort, l’amour et la vie sont presque des personnages à part entière.
La mort qui plane, toise de haut, s’impose.
L’amour qui perce les carapaces, se faufile et triomphe. Toujours. D’une manière ou d’une autre.
La vie qui prend des chemins de traverse surprenants, qui interroge, qui continue. Malgré tout.
 
😄 Dans quelques semaines, « Et nos routes toujours se croisent » sera entre vos mains. Je tremble et je trépigne tout à la fois. J’espère que vous vibrerez à le lire autant que j’ai vibré à l’écrire.
Rendez-vous en septembre 2024 aux Éditions de la Rémanence !

 
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Sortir de l’ombre