Et nos routes toujours se croisent
Un premier roman émouvant et addictif, qui vous plongera de manière saisissante dans un service d’onco-hématologie pédiatrique auprès de personnages crédibles et attachants
Disponible depuis le 16 octobre 2024
aux éditions de la Rémanence !
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Et nos routes toujours se croisent
Plongez dans le monde effrayant de l’extérieur mais ô combien lumineux de l’intérieur qu’est l’onco-hématologie pédiatrique. Engagé et réaliste, ce premier roman ne vous laissera pas indemne.
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Lettres d'Hivernage - Troisième numéro
Ce numéro est consacré aux femmes, à leur voix, à celles des poétesses, autrices, artistes contemporaines qui laissent résonner les pluralités et la différence de leurs expériences.
Salons, rencontres, dédicaces
Évènements passés :
Salon des auteurs de Bainville-aux-Miroirs : le dimanche 13 octobre 2024, de 10h00 à 17h00 au Foyer Rural
Évènements à venir :
Salon Livr’à Laxou : le samedi 30 novembre 2024, au CILM de Laxou
Avis
Marie Villequier
J’ai longtemps porté en moi le rêve de publier des romans, de confier à des inconnus des mots que j’aurais écrits dans l’espoir de les émouvoir, de les toucher, de les faire vibrer.
Lorsque je suis entrée en faculté de médecine, j’ai relégué ce rêve dans un tiroir. La poussière s’y est accumulée au fil du temps.
L’irruption de la maternité dans ma vie a été un chamboulement merveilleux mais ô combien bouleversant. Mes écrits et mes rêves ont patienté sagement.
Et puis parfois, des évènements de vie renversent nos priorités, rebattent les cartes et nous bousculent tant et si bien qu’on choisit d’aller gratter sous la couche de poussière et de regrets pour retrouver la lumière.
Dernièrement sur le blog
Sortir de l’ombre
En songeant à cette peur qui m’étreint, j’ai repensé à cette citation de Marianne Williamson : “Notre peur la plus profonde n'est pas que nous ne soyons pas à la hauteur. Notre peur la plus profonde est que nous soyons puissants au-delà de toutes limites. C'est notre lumière et non nos ténèbres qui nous effraie le plus.”
“Mais d’où vient le titre de ton roman ?
J’aime quand les romans portent un titre poétique. C’est comme une devinette enrobée de mystère et de douceur, comme une promesse à effeuiller page après page…
Lorsque j’ai trouvé ce poème de Paul Eluard, j’ai été frappée par son titre…
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Un outil de résistance et de sensibilisation, un mélange de singularités qui invitent au partage et à la réflexion, une sélection de coups de cœur littéraires, culturels et engagés pour catalyser le changement et élargir nos horizons.